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L’INITIÉ EST CELUI QUI, AYANT DÉCIDÉ DE VIVRE D’UNE MANIÈRE À ÉDIFIER SA CONSCIENCE, LAISSE DERRIÈRE LUI L’EXISTENCE DE CE MONDE ET PART À L’AVENTURE DE CELLE CI.

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Ton monde extérieur est le reflet de ton monde intérieur, règles en la source…

Bienvenue. Ici, visites, profites et prends


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Confucius (551 à 479 Av J-C)


 

Homme d’Etat et philosophe chinois.

Les idées de Confucius – nom latinisé de Kong Fuzi – ont influencé toutes les civilisations d’Asie de l’Est. La croyance en la capacité de l’homme ordinaire à modifier son propre destin caractérise cet héritage. En contraste avec son incroyable influence, la vie de Confucius est d’une simplicité exemplaire. Instruit par sa mère, il se distingue par une infatigable envie d’apprendre. Sa maîtrise des arts lui permet d’ailleurs de débuter une brillante carrière d’enseignant. Il s’implique en politique, souhaitant mettre ses idées humanistes en pratique auprès des gouvernements. Il devient magistrat puis ministre de la Justice dans l’Etat de Lu. A 56 ans, il réalise finalement que ses supérieurs ne sont pas intéressés par ses idées et quitte le pays pour un exil de douze ans. Pendant ce temps sa réputation d’homme de vision se répand. A 67 ans, il retourne chez lui pour enseigner et écrire. Ses ‘Entretiens’ et ses théories, largement popularisés par ses disciples, constituent une doctrine de perfectionnement moral.

La jeunesse

Confucius est né dans l’Etat de Lu dans une famille noble du clan Kong. Son père, gouverneur de la province de Lu, meurt trois ans après sa naissance, laissant la famille sans ressources. Confucius reçoit toutefois une éducation de haut niveau, notamment les traditions culturelles de la dynastie Chou. Il se marie à vingt-quatre ans et a un fils et deux filles. Il exerce momentanément des tâches domestiques pour le chef de la province.

Sa carrière d’instructeur

Sa mère meurt en 527 avant J-C. Au terme d’une période de deuil, il voyage et dispense son enseignement au petit groupe de disciples qui l’entoure alors. Il est rapidement réputé comme un homme de grande érudition et de caractère, profondément respectueux des idéaux de la tradition.

Sa carrière de magistrat

A l’âge de cinquante ans, Confucius est nommé magistrat. Il est bien vite chargé de la justice dans le gouvernement de Lu. Son action est couronnée de succès : il introduit des réformes, rend la justice plus équitable. Victime d’une conspiration suscitée par ses résultats, il est amené à quitter son poste en 496 avant J-C. Il part en voyage pour trouver l’appui lui permettant d’entreprendre des réformes.

La fin de sa vie

En 484 avant J-C, il rentre définitivement dans l’Etat de Lu, passant les dernières années de sa vie à rédiger des commentaires sur les auteurs classiques.

La pensée de Confucius

Confucius déplorait le désordre et l’absence de considérations éthiques sous la dynastie Chou, et préconisait de renouer avec les principes et préceptes des sages de l’Antiquité, en initiant ses élèves aux auteurs anciens de la littérature chinoise. Il accordait également un rôle capital à la musique. Attachant une grande valeur au pouvoir de l’exemple, il soutenait que les gouvernants doivent mener une vie exemplaire, pour entraîner les citoyens à suivre leur exemple, l’Etat ne pouvant alors que connaître la prospérité et le bonheur.

Confucius considérait que l’homme doit se conduire sur la base de cinq vertus : la bonté, la droiture, la bienséance, la sagesse et la loyauté. Le respect des parents, de la vie et de la mort était également un de ses concepts clés.
Confucius n’a pas écrit lui-même son enseignement, mais celui-ci a été transmis par ses disciples. On considère que les « Cinq livres canoniques » en forment l’essentiel.
Les « Analectes » contiennent la source la plus fiable de sa vie.

Confucius a été reconnu de son vivant comme un grand penseur et, par la suite, comme un être surnaturel.

Citations :

« Je ne cherche pas à connaître les réponses, je cherche à comprendre lesquestions. »

« Choisissez un travail que vous aimez et vous n’aurez pas à travailler un seuljour de votre vie. »

« Quand on peut accomplir sa promesse sans manquer à la justice, il fauttenir sa parole. »

« Je ne veux ni ne rejette rien absolument, mais je consulte toujours lescirconstances. »

« L’homme sage n’est pas comme un vase ou un instrument qui n’a qu’unusage ; il est apte à tout. »

« C’est seulement quand l’hiver est arrivé qu’on s’aperçoit que le pin et lecyprès perdent leurs feuilles après tous les autres arbres. »

« On peut connaître la vertu d’un homme en observant ses défauts. »

« Entendre ou lire sans réfléchir est une occupation vaine ; réfléchir sans livreni maître est dangereux. »

« Le silence est un ami qui ne trahit jamais. »

« Quand on ne sait pas ce qu’est la vie, comment pourrait-on savoir ce qu’est la mort ? »

« Dépasser le but, ce n’est pas l’atteindre. »

« Celui qui sait obéir saura ensuite commander.  »

« Rendez le bien pour le bien et la justice pour le mal. » (A comparer à celle de Lao Tseu )

« La joie est en tout ; il faut savoir l’extraire. »

« Une petite impatience ruine un grand projet.  »

Bibliographie :

  • « Le grand livre des religions du monde » sous la direction de Peter Clarke, éditions Solar
  • « La Sagesse orientale » de Scott Littleton, éditions Duncan Baird
  • « Les livres sacrés » de Fernand Comte, éditions Bordas
  • « La Sagesse de Confucius » de Guy Samson, éditions Quebecor
  • « Confucius: entretiens avec ses disciples » éditions Denoël
  • « Confucius » de Gou Xia et Feng Wei (18 maximes extraites des « Entretiens de Confucius »), éditions du Dauphin (Beijing, Chine)

Lao Tseu environ (de 570 à 490 av.J-C)


Le Livre de la Voie et de la Vertu ou Dao De Jing que la tradition lui attribue est un texte majeur du taoïsme, considéré comme important par d’autres courants également. Lao Tseu est considéré par les sectes taoïstes comme un dieu (Taishang Laojun 太上老君 « Suprême seigneur Lao ») et comme leur ancêtre commun.

L’image la plus courante de Lao Tseu en fait un personnage extraordinaire. Conçu miraculeusement par le passage d’une comète ou l’ingestion par sa mère d’une prune (li, nom de famille qui lui est généralement attribué) magique, il naît avec des cheveux blancs et une barbe, d’où son surnom d’ancien (lao), et des oreilles aux lobes très longs, signe de sagesse. Archiviste à la cour des Zhou et contemporain de Confucius qui le reconnaît comme un maître et un être extraordinaire, il finit par quitter le pays âgé d’au moins 160 ans, lassé des dissensions politiques. Il part vers l’ouest monté sur un buffle ; arrivé à la passe qui marque la frontière, il rédige le Livre de la Voie et de la Vertu à la demande du gardien Yin Xi puis continue son voyage. Personne ne sait alors ce qu’il devient, mais certains pensent qu’il ne meurt pas ou qu’il se réincarne, reparaissant sous différentes formes pour transmettre le Dao5.

Théories sur le personnage

Dans sa pensée, n’oublions pas que le sage reste en retrait, comme debout dans la pénombre. En suivant cette logique, on serait en droit d’estimer que, il aurait pu changer de nom à plusieurs reprises, dans le but délibéré de jeter une confusion permanente sur son existence. Selon l’endroit où il se trouvait, il pouvait y être connu sous un ou plusieurs noms différents. Ce qui, aujourd’hui, bien sûr, met un voile d’obscurité sur l’historicité du personnage, les sources citant divers noms pour, probablement sans le savoir, la même personne. L’usage de plusieurs noms pour une même personne, en Chine, étant à l’époque une pratique généralisée et même traditionnelle. Il y a le nom à la naissance, le prénom social, le «Hao», l’interdiction d’appeler un aîné par son prénom à la naissance. L’introduction de particule devant le nom, par exemple, si quelqu’un semble être plus âgé que quarante ans, on doit placer «Lao» soit devant le nom de famille, soit devant le prénom social ou encore le «Hao». En admettant que le prénom social de Lao Tseu soit Dan, et qu’il semblait à l’époque avoir plus de quarante ans, on devrait donc dire «Lao Dan», et il pourrait s’agir du même personnage dont le nom personnel, qui à cause de son âge devenu tabou, soit effectivement Li Er, et les noms «Laolaizi» et « Lao Zi » (possiblement un diminutif de Laolaizi) aurait pu être le nom que lui affublaient ses disciples directs. Comme prononcer le nom personnel d’un aîné était tabou, on peut convenir ignorer comment le nom Li Er est venu aux «oreilles» de Sima Qian.

Le paradoxe de Lao Tseu

En effet, réel ou fictif, le personnage Lao Tseu a réellement existé, même s’il n’a pas existé réellement sous ce nom ou sous un nom d’emprunt comme c’était d’usage à l’époque. Puisque c’est probablement un nom en lien avec un personnage de légende, ayant eu cours au temps de Printemps et Automnes que le personnage ayant inspiré le pseudonyme a existé ou non, n’a que peu d’importance. En effet, si le personnage n’a pas existé, mais que l’œuvre qui lui est attribuée existe bien, alors on se retrouve en plein paradoxe. Premièrement, il est possible qu’il ait écrit l’œuvre lui-même (Lao Tseu). Deuxièmement, il est possible que le Daodejing ait été écrit à titre posthume par un disciple direct. Troisièmement, l’auteur voulant valoriser son œuvre décide de prendre un pseudonyme en lien avec un personnage dont la sagesse faisait autorité. Dans cette troisième alternative, on est renvoyé à la notion même de paradoxe. Puisque l’auteur (anonyme) a pris le pseudonyme du sage reclus, et ce même s’il n’a pas vécu, ayant pris son nom, il devient donc faux de dire qu’il n’a pas vécu. Quatrièmement, il est possible qu’il ait écrit l’œuvre lui-même et que, dans une époque où les auteurs ne signaient pas leurs œuvres de leurs propres noms, il l’ait fait dans le but de jeter un doute dans l’esprit des générations futures. Cette quatrième hypothèse, nous ramène encore à la notion de paradoxe. Étant donné que, il signe son propre nom, dans le but que l’on anticipe qu’il n’est pas l’auteur, bien qu’il soit l’auteur. Enfin, dans le Daodejing, le concept de paradoxe revient fréquemment, alors on ne doit pas se surprendre de nager en plein paradoxe.

Lao Tseu dans le taoïsme religieux

Parallèlement au Lao Tseu historique proposé par les historiens Han, un Lao Tseu religieux apparait dans d’autres sources, comme le Liexianzhuan (列仙傳) qui le compte au nombre des immortels. Depuis la fin des Royaumes combattants, il est avec le souverain mythique Huangdi l’un des personnages centraux du courant huanglao, important jusqu’au début des Han. À l’origine philosophique et politique, ce courant aurait pris un tour plus religieux quand il fut évincé par le confucianisme. On trouve des témoignages de la divinisation de Lao Tseu dès le règne de l’empereur Huandi (r. 146-168), qui lui rend un culte. En 153, Wang Fu (王阜), préfet de la région de Changsha, fait dresser une stèle dédiée à Lao Tseu sur laquelle celui-ci est identifié au Dao originel ; vers la même époque, le lettré Bian Shao (邊韶) déclare que Lao Tseu est un immortel, maître des sages de différentes époques à travers ses métamorphoses. Dans le Bianhua wuji jing (變化無極經) des Han orientaux, Lao Tseu, identifié au Dao, se donne naissance à lui-même et prédit son retour sous une de ses métamorphoses dans une perspective millénariste.

Il est l’un des quatre grands dieux de la secte des Cinq boisseaux qui émerge à la fin du iie siècle et exige de ses adeptes la récitation régulière du Dao De Jing. Le courant desMaîtres célestes issu des Cinq boisseaux contribuera fortement à répandre l’image divine de Lao Tseu et à enrichir sa légende. Sous les noms de Vénérable céleste du Dao et de la Vertu (道德天尊) ou Pur du faîte suprême (太清), il est devenu l’un des Trois Purs, divinités principales des grandes écoles taoïstes modernes. Encore appelé Suprême seigneur Lao (太上老君) ou Empereur de l’origine mystérieuse (玄元皇帝), il apparaît sous des formes diverses au fil des siècles pour guider les fidèles. Dans les temples, son effigie est à la droite du trio des Trois Purs ; il a la barbe et les cheveux blancs et tient en main un éventail.

Dans L’Explication ésotérique des trois cieux (Santian neijiejing 三天內解經) (~420), un texte des Maîtres célestes, Lao Tseu connaît une triple naissance : en tant que divinité, en tant que Laozi historique, puis en tant que Bouddha. En effet, le taoïsme religieux, confronté au iiie siècle au développement du bouddhisme en Chine, a tenté un rapprochement audacieux entre ce personnage parti en pays barbare et le Bouddha qui serait son incarnation ou parfois son élève. Wang Fu (王浮), membre des Maîtres célestes, expose à la même période cette opinion dans La conversion des Barbares par Lao Tseu (Laozihuanhu 老子化胡), ouvrage qui sera régulièrement repris et enrichi jusqu’au xive siècle où les prétentions de voir Lao Tseu dans le Bouddha seront définitivement rejetées.

Les empereurs de la dynastie Tang (618-907), dont le nom de clan était Li, acceptèrent volontiers de se considérer comme ses descendants lorsqu’ils firent du taoïsme leur religion officielle et de l’honorer comme Shengzu (聖祖) « Saint ancêtre ». L’empereur Gaozong (r. 649-683) lui accorda le titre de « Suprême empereur céleste du mystère originel » (太上玄元天帝).

Le Lao Tseu divin a un aspect hors du commun. Ge Hong le décrit ainsi : peau jaune clair, oreilles longues, grands yeux, dents écartées, bouche carrée aux lèvres épaisses, quinze rides sur un front large qui porte aux coins la forme de la lune et du soleil. Il a deux arêtes de nez et trois orifices à chaque oreille, et les dix lignes des êtres d’élite marquent ses paumes.

Les circonstances de sa naissance sont également extraordinaires : sa mère, qui l’aurait conçu en apercevant une comète ou un dragon volant alors qu’elle était assise sous un prunier – d’où son nom de famille Li – l’aurait porté pendant huit ou quatre-vingt-un ans. Lorsqu’il naquit avec les cheveux blancs – origine pour certains du nom Lao (vieux) – une comète apparut dans le ciel et neuf dragons sortirent de terre pour le baigner. C’est ce dernier détail, joint au fait que selon Bian Shao, son lieu de naissance se situait au confluent des rivières Guo et Gu et sur la rive yáng de la Guo, qui a encouragé la ville de Guoyang à postuler la place de lieu de naissance du sage. Il y existe en effet un site appelé « Puits des neuf dragons » qui daterait des Printemps et des Automnes.

Citations :  

« Celui qui se conduit vraiment en chef ne prend pas part à l’action. »

« Le sage peut découvrir le monde sans franchir sa porte. Il voit sansregarder, accomplit sans agir. »

« Celui qui excelle à employer les hommes se met au-dessous d’eux. »

« Plus le sage donne aux autres, plus il possède. »

« Savoir se contenter de ce que l’on a : c’est être riche. »

« Quand la crainte ne veille pas, il arrive ce qui était à craindre. »

« Imposer sa volonté aux autres, c’est force. Se l’imposer à soi-même, c’estforce supérieure. »

« Les hommes sont différents dans la vie, semblables dans la mort. »

« Rendre le bien pour le bien et le bien pour le mal, c’est la bonté efficace. »

« Le sage sans jamais faire de grandes actions, accomplit de grandeschoses.  »

« Plus on va loin, moins on apprend. »

« Ceux qui savent ne parlent pas, ceux qui parlent ne savent pas. Le sageenseigne par ses actes, non par ses paroles. »

« L’être qu’on peut nommer n’est pas l’être suprême.  »

« Trop loin à l’est, c’est l’ouest. »

Pour commencer


On peut se sentir mal à l’aise avec soi même, douter de sa voie, se sentir mal dans sa peau, ne pas s’aimer, avoir envie d’autre chose, se sentir incompris, vouloir changer, se voir comme réfutant tout, se sentir trahi par la vie (santé, famille, amis), sans positivisme, défaitiste… Ne pas avoir la bonne énergie qui fait que l’on a continuellement le sourire et que chaque matin est un plaisir de se lever.

Pour changer tout cela et du coup chercher… mais chercher quoi ? le bonheur bien sure !!! Eh bien sachez que cela est la quête de l’homme depuis les temps les plus anciens et que de nombreux essais ont été écrit la dessus. Je ne vais donc pas faire ici une analyse de chacun d’entre eux ni dévoiler non plus « ma méthode » dans le sens « c’est moi qui l’ai fait » mais lier ce qui est commun à la plus part de ce qui à été écrit et surtout vous faire tendre vers divers domaines de connaissances afin que de part vous même vous puissiez avancer vers ce qui résonne en vous.

 L’aide au développement personnel de chacun ici proposée n’a pas pour but de vous rendre plus riche, plus fort, plus courageux, plus beau ou plus intelligent mais simplement de vous rendre heureux dans ce que vous êtes et au milieu de ce qui vous entoure ; de vous faire découvrir ce pourquoi vous êtes fait et vous aider à mieux gérer votre vie sans avoir à la combattre où à la subir. Ainsi vous transpirerez une beauté, une force, une intelligence non pas de surface mais bien plus impressionnante puisque venant de votre profondeur.

 On ne peut changer l’homme si on ne lui donne pas les techniques pour le transformer, le mental est une matière subtile, on peut le changer par une ouverture autre que celle dans laquelle on nous confine dans notre société. Quand le mental est différent, le monde est différent car on appréhende celui-ci à travers notre mental. Le problème est que depuis l’enfance rien n’est fait pour nous instruire en ce sens. On forme l’enfant, l’ado puis l’adulte à ce qu’il doit posséder (bagages culturels, formations professionnelles puis conceptions matérielles) mais jamais dans notre cursus on nous apprend à nous connaître afin d’agir en fonction de qui nous sommes vraiment et non en fonction de ce que l’on veut que l’on soit. Pourtant les moyens à cela sont connus depuis bien longtemps, mais dans notre monde occidental cela n’est pas une priorité à priori. Force est de constater les taux records de suicides, dépressions, addictions aux antidépresseurs alors que nous baignons nous dit on dans une société de pointe, civilisée et moderne…

 L’approche de la connaissance de soi se situe sur différents plans :Ici en rouge lien direct au sujet.

– L’honnêteté 

– La méditation

– L’égo

– Le lâcher prise

– La notion de moment présent

– La pensée positive

– Le soin du corps

– La connaissance

Ces 8 notions sont à travailler ensemble quotidiennement et ne vous prendront pas plus de 45 minutes par jour réparti sur l’ensemble de la journée, je vais ici faire abstraction de tout idéaux religieux afin de respecter chacun.

 Ce que je vous garantis c’est qu’au bout de trois mois, vous y verrez déjà plus clair et vous vous sentirez bien mieux. Évidemment l’entretien et le développement  de tout cela n’a pas de limite dans le temps, mais les bénéfices que vous rencontrerez ne pourront qu’aiguiser votre soif de continuer à connaître votre moi profond et être en harmonie.

 J’ai classé volontairement ces notions dans un certain ordre et je vais les expliquer ici :

-L’honnêteté

Symbole chinois de l’honnêteté

Être honnête à première vue on sait ce que cela veut dire, et l’on a une certaine conscience de l’honnêteté. Bien sure le vol, la médisance, le mensonge et autres sont à bannir et, en général on s’attache à le faire. Mais l’honnêteté est très subtile, déjà parce que l’on a toujours une idée d’elle comme émanant de nous vers les autres ou des autres vers nous-même… Avant de se croire honnête ou de vouloir qu’on le soit avec nous il est important d’abord de savoir l’être envers soi.

 

Être honnête avec soi-même.

C’est en cherchant vraiment à l’être pour soi que l’on comprend toute la complexité de cette notion. D’abord avant de vouloir changer et se retrouver soi-même l’important est de savoir si on le veut vraiment… Être honnête avec cela !!!

 Mes problèmes ne me permettent-ils pas d’exister pour moi et envers les autres ?

 Est ce que je ne trouve pas un certain plaisir à ne pas être bien ?

 Si je ne suis plus mal ou non en phase avec moi cela signifie que je vais aller bien mais serai-je toujours moi ?

Est ce que je le mérite ?

 Etc etc… Il devient donc nécessaire de mettre sa volonté de changement en corrélation avec soi en travaillant sur les points qui nous empêchent d’avoir une volonté sans faille.

 Par conséquent l’honnêteté se travaille et est la base même de la légitimité, de sa volonté à vouloir changer. Elle nécessite de gommer les fausses raisons nous interdisant l’idée même de penser que l’on peut changer (manque de confiance en soi – pessimisme etc ). 

-La méditation

La méditation est l’outil à la connaissance de soi en ce sens où elle va vous permettre simplement de poser votre esprit, de laisser reposer les idées et ainsi de vous rendre plus clairvoyant.

 

Il faut comprendre que comme nous avons un corps, celui-ci est géré par notre cerveau, mais cela ne s’arrête pas là…. eh non ! notre cerveau se décompose en deux éléments et là c’est une chose à bien prendre en considération. Il y a le mental et la conscience. La conscience est ce qui pour tout à chacun va permettre de juger et normalement de vraiment commander, mais pour cela il passe par le mental qui, lui, possède notre historique, nos envies, nos idées reçues, nos peurs etc. En général nous sommes tout le temps dans notre mental et très peu en pleine conscience. Ce qui revient à dire que nous bouillonnons d’idées nous faisant agir et, parfois, la conscience intervient un peu comme cela : « ce n’est pas bien ce que je fais, je ne vais pas dans le bon sens ! » et le mental lui répond « oui je sais, mais je n’ai pas le choix, de toute façon ce n’est pas grave et puis j’ai envie de ça même si je sais que ce n’est pas bon pour moi « .

 De plus le mental à cette particularité de ressasser les idées, surtout négatives car il est directement lié à l’ego. Du coup on passe son temps en un flot d’idées, de pensées nous coupant finalement du monde et de la réalité, du moment présent, de ce que nous montre nos sens puisque a chaque chose est attribuée par le mental une « valeur » ne venant pas de notre conscience mais de notre mental donc suggestive.

 Exemple.

 Nous voyons un homme sur le bas de la route, la nuit, nous faisant des signes :

 Nous allons immédiatement de par la conscience nous dire que cet homme à besoin de nous mais tout de suite le mental va intervenir en instituant la peur de par les facteurs que sont l’homme inconnu et la nuit pour la base et du coup nous seront tentées de continuer notre route… Puis notre conscience nous dira qu’il aurai peut être fallu l’aider mais le mental revient à la charge en trouvant des prétextes qui ne sont pas validés mais le fruit de l’imagination ou d’idées reçues.

 En calmant notre mental et en sachant le raisonner nous auront de par le fait plus de place à notre conscience (d’ou le terme pleine conscience) et cette conscience non seulement nous avertira que l’on pourra aider cet homme mais aussi ressentira par son analyse formidable si oui où non il y a danger autant qu’elle le fait lorsqu’au fond de nous-même elle nous dit « ça c’est bon pour moi » où « ceci n’est pas bien ».

 La méditation permet par la maîtrise de son mental de nous en libérer et d’éviter les préjugés ou d’en ressasser les choses. On décrit son principe par cette image :

 La méditation fonctionne comme si on laisse se reposer un verre d’eau boueuse, ainsi sans agiter l’eau qui nous empêche de voir à travers le verre de par ses impuretés, celles-ci se dépose au fond en une lie et l’eau devient claire nous permettant de voir. Ici le verre d’eau boueuse est notre esprit, l’eau pure est notre conscience, la terre l’image des idées nombreuses de notre mental.

 En trois mois de méditation à raison de vingt minutes par jour, vous arriverez à de surprenants résultats :

 Plus de précision dans vos gestes quotidiens.

 Calme intérieur

 Relaxation

 Idées claires

 Bien être …

De plus non troublé par votre mental, vous verrez les choses qui vous entourent différemment, vous surprenant à dire  » c’est fou ! je n’avais jamais remarqué que…. » Vous profiterez bien mieux de votre entourage, vous vous sentirez bien moins fatigué aussi du fait du repos du mental.

– L’égo

Une des grandes illusions de l’ego est qu’il nous manque toujours quelque chose pour être heureux. Peu importe ce que nous acquerrons, il ne sera jamais satisfait. Un certain sentiment d’incomplétude nous pousse à toujours vouloir plus. Cela fait partie d’un stratagème très astucieux de l’ego: il tente de nous faire sentir incomplet afin de nous contrôler.  Il ne vise pas que le matériel, notre sentiment d’être, d’exister, en est faussé que ce soit par la recherche d' »éloges' »ou l’attribution de propos pris négativement à titre personnel.  L’essentiel se trouve en nous pourtant, l’essentiel pour être, pour diluer cet ego, pour se passer du reste.

 Ne plus subir l’ego, ne plus réagir par lui permet d’être vraiment Soi.

 Il se dilue lorsque l’on maîtrise le fait de savoir le reconnaître, le voir sous ses multitudes de formes.

 Pour cela l’étude du livre ‘le moment présent’ d’Eckhart Tolle donne de bonnes clés. 

– Le lâcher prise

Le « Lâcher prise » est devenu synonyme de « Calme-toi » ou « Sois zen ». Pourtant, lâchez prise, ce n’est pas que se relaxer. Cette approche souple de la vie demande du courage pour s’abandonner, non pas pour faire l’expérience du vide – ce dont nous avons tous horreur -, mais pour se confier. C’est l’expérience d’une présence nouvelle.

Il nous faut accepter de tout perdre : notre attitude d’humilité permet à l’événement de s’accomplir en nous, et non pas hors de nous. « Lâcher prise » signifie «laisser s’accomplir », sans nous occuper de nos représentations, projections, désirs ou préjugés pour accepter ce qui est et nous confier librement à ceux que nous rencontrons.

Le lâcher prise, c’est :

– Comprendre que rien n’est permanent ou solide et que tout est en perpétuel changement.

 – Accepter le processus naturel et inévitable du changement.

 – Accepter tout ce qui se présente, sans rejeter le négatif et sans trop s’attacher au positif.

 – Prendre chaque jour comme il vient sans trop essayer d’adapter les choses à ses propres désirs.

 – Considérer toute difficulté et tout ennemi comme notre meilleur ami qui nous aide à progresser et à grandir.

 – Avoir du recul face à tout ce que l’on expérimente.

 – Rester serein, détendu et d’humeur égale, quelles que soient les circonstances, agréables, désagréables ou neutres.

 – Utiliser l’humour pour dédramatiser une situation.

 – Comprendre que les choses ont l’importance qu’on leur donne.

 – Ne pas regretter le passé, mais vivre et grandir pour l’avenir en se nourrissant du présent.

 – Ne pas être passif, mais au contraire tirer une leçon des conséquences inhérentes à un événement.

 – Vivre dans le présent.

 – Ne pas s’attacher au résultat de nos efforts.

 – S’efforcer de faire de son mieux sans vouloir tout contrôler en comprenant que le résultat final n’est pas entre nos mains.

 – Ne pas couper les liens, mais prendre conscience que l’on ne doit contrôler autrui.

 – Ne pas se montrer indifférent, mais simplement admettre que l’on ne peut agir à la place de quelqu’un.

 – Ne pas s’occuper de tout ce qui arrive, mais laisser les autres gérer leur propre destin.

 -Ne pas materner les autres, mais leur permettre d’affronter la réalité.

 – Ne pas assister, mais encourager.

 – Ne pas critiquer ou vouloir changer autrui, mais tenter de comprendre ses propres défauts.

 – Ne pas juger, mais accorder à autrui le droit d’être.

 – Se mettre à la place de l’autre en essayant de comprendre ses motivations.

 – Donner le meilleur de soi-même et se laisser devenir.

 – Craindre moins et aimer davantage.

 – Oser dire l’amour.

– La notion de moment présent

On en parle beaucoup et pour essayer de faire simple il peut être nécessaire de comprendre que l’on passe une grande partie de sa vie à penser au passé ou s’inventer un futur. À tel point que sur une vie, le temps passé à être présent consciemment à ce qui nous entoure, sans être ailleurs ni rebondir à des sujets autres au contact de ce que nous livre l’un ou plusieurs de nos 5 sens et ainsi nous décoller mentalement de l’instant présent; ne nous fait passer qu’une infime partie de présence absolue à ce qui est. Tout le reste n’est que cinéma de notre mental. Si celui-ci est perturbé nous perturberions la vie que nous traversons au moyen de nos jugements donnant encore plus de poids à notre mental qui se base sur l’expérience passée. C’est le cercle infernal. 

Le passé n’est plus.

Le futur n’est pas.

Seul le présent est.

Le passé n’est plus : signifie que ce qui est passé est passé, il ne sert à rien de le rabâcher avec des ‘si j’avais su…. / avant c’était mieux… / si je suis ainsi c’est à cause de ce qui s’est passé avant etc…

 Ce n’est pas que le passé ne sert à rien ! il a pour valeur celle de l’expérience et de l’histoire, du souvenir. Il n’est pas là pour miner le moral et si c’est le cas, il faut savoir le faire taire : pour cela rien de plus simple en prenant l’habitude de se tourner vers ce qui est là à l’instant. Si cet instant présent ramène au passé alors il faut s’en détacher en focalisant sur un détail (si la visite d’une maison vous rappelle de douloureux souvenirs et que vous êtes contraint d’y rester un temps, ne passez pas ce temps aux mauvais souvenirs, mais focalisez sur le jardin et ses fleurs par exemple ou tout autre chose vous évoquant un questionnement ou une admiration, trouvez le sujet de ‘fuite’ présent)

 Le futur est une projection, mais il n’est pas, et il ne le sera pas forcément car tout n’est qu’aléa et l’on sait bien que l’on ne peut vivre en faisant des plans sur la comète. Ce dire ‘la, rien ne va, mais demain ça ira mieux / je suis triste, mais un jour, je serai heureux car j’aurais ça et ça / si j’avais de l’argent et bien je pourrai… ne sert à rien, ce n’est qu’une façon de fuir le problème en se remontant faussement le moral. La projection dans le futur n’est utile que pour se déterminer un but, se donner un point de repère, mais cette notion n’est pas faite pour vivre son présent.

 Vivre le moment présent c’est d’être conscient pleinement de ce qui se passe maintenant, en le percevant vraiment, et du coup en voyant ce que l’on ne voit pas en étant ailleurs dans le temps… Ainsi, pour qui tente l’expérience, une réalité apparaît à chaque seconde différente ce qui est bien mieux que de passer des heures à se ressasser des idées noires.

 Le pouvoir du moment présent d’Eckhart Tolle est un livre très explicatif sur ce principe, je le recommande vivement. 

– La pensée positive

La  pensée positive  est une technique pour aider chacun à se sentir mieux, davantage en harmonie avec la vie.
Adopter et conserver cette attitude quotidiennement permet de relativiser les problèmes, d’accorder moins d’importance à ces tourments de toutes sortes qui souvent masquent l’essentiel. C’est en cultivant la pensée positive que l’on apprend à mieux se connaître, à profiter de chaque occasion, aussi étonnante soit-elle, qui nous est offerte par l’existence. 

Il y a des personnes qui naturellement voient le « bon côté des choses » ou « le verre à moitié plein », qui parviennent toujours à trouver une solution, qui tirent profit de chaque échec et qui s’attendent qu’à de bonnes choses….Bref ces personnes ont toujours le moral quoi qu’il arrive. Elles cultivent, qu’elles en soient conscientes ou non, la pensée positive.

Les envieux disent de ces personnes qu’elles ont plus de chance, une existence plus simple, des conditions de vie plus favorable…Elles attribuent leur bonheur non pas à une attitude personnelle mais à des circonstances extérieures. Et pourtant il n’y a rien de plus faux…

Qu’ont-elles de plus que les autres ? De l’optimisme. La personne positive pense «je peux» tandis que la personne négative pense «je ne peux pas». Voilà la différence. Elle tient à quelques malheureux mots…qui ont une puissance incalculable.

« Tout est bien, tout va bien, tout va le mieux qu’il soit possible». Voltaire, Candide.

En quoi est-ce si important d’être optimiste ? Voici 5 bonnes raisons de vous convertir à la pensée positive :

La pensée positive pour vous libérer du stress

Une chose est certaine : l’optimiste n’est pas une personne stressée. Le stress est une réaction aux évènements qui composent votre vie et non pas l’inverse. Ce ne sont pas les évènements qui causent votre stress mais votre façon de les appréhender. Etre stressé, c’est être incapable de se défaire de certaines pensées et de se déconnecter. C’est cogiter, c’est ressasser, c’est ruminer…c’est se « pourrir » la vie avec des pensées négatives toxiques. C’est aussi être dans l’incapacité de contrôler ses émotions.

Adoptez une attitude positive, c’est aborder les évènements avec confiance, sécurité, sérénité, c’est ne plus avoir peur, ne plus être angoissé.

La pensée positive pour profiter de la vie

Pour profiter pleinement de la vie, il faut être positif. Comment être heureux si vos pensées sont focalisées sur la peur, le stress, l’anxiété….Comment pouvez-vous vous accomplir si vous anticipez les problèmes ? Comment pouvez-vous vous sentir bien si vous vivez les obstacles comme des échecs personnels ?

Etre positif, c’est être confiant en soi-même et en l’avenir. C’est vivre l’instant présent et savourer les petits bonheurs qui constituent le quotidien. De mon point de vue, la pensée positive est la clé d’une vie heureuse et épanouie.

La pensée positive pour être en bonne santé

Les études démontrent que les optimistes sont en meilleur santé car ils sont moins stressés. C’est simple à comprendre dès lors que que l’on prend conscience que 80% des maladies sont liées directement ou indirectement au stress. Fatigue, irritabilité, maux de tête, insomnies, tension, brûlures d’estomac, rhumes fréquents, perte de libido, dépression…sont les symptômes les plus courant du stress.

Pour être en forme et donc en bonne santé, vous devez avoir de l’énergie. Et l’ennemi numéro 1 de l’énergie c’est le stress….Le stress est tout simplement le mal du XXIème siècle. Tandis que les pensées négatives responsables du stress contractent votre énergie vitale, les pensées positives la dilate.

La pensée positive pour attirer le succès

Ce n’est pas en cultivant le doute, la peur, le côté négatif et désespéré des choses que vous allez vaincre les difficultés, atteindre vos buts et briller de succès. Il faut sans aucun doute une forte dose d’optimisme pour surmonter les obstacles, dépasser ses limites et persévérer jusqu’à la réussite. Si vous baissez les bras à la moindre contrariété, ça va être dur…

Vous n’en êtes peut-être pas encore conscient, mais votre plus grand allié dans le vie n’est pas à l’extérieur mais à l’intérieur de vous. C’est votre esprit. En prenant le contrôle de vos pensées, vous prenez le contrôle de votre vie.

«Nous sommes ce que nous pensons. Tout ce que nous sommes résulte de nos pensées. Avec nos pensées, nous créons notre monde». Bouddha.

Celui qui pense à l’échec, la peur, la tristesse…attirera dans sa vie des évènements qui généreront davantage d’échec, de peur, de tristesse….En revanche penser au succès, à la réussite…créera le succès et la réussite. C’est mathématique. C’est la loi de l’attraction : nous attirons à nous ce à quoi nous pensons le plus.

La pensée positive pour avoir des relations stables

Qui ne rêve pas d’avoir une personnalité «magnétique»? de plaire à toute le monde ? D’avoir assez de charisme pour influencer son entourage ? Ce n’est pas en étant une «boule de nerf» incapable de maîtriser ses émotions que vous pourrez vous constituer des relations stables et durables.

Il faut inspirer les autres pour s’entourer, il faut leur donner envie d’être en votre compagnie. Et c’est en adoptant une attitude confiante et foncièrement optimiste que vous pouvez y parvenir….Vous attirez à vous d’autres personnes comme un aimant, car vous produirez une puissante impression de gaieté, de stabilité, de confiance….Un dernière chose, l’optimisme est contagieux. Plus vous êtes positif, plus votre entourage va le devenir…ce n’est pas merveilleux ?

Pour terminer, j’aimerai vous dire ceci : chacun de nous a une puissance positive qui ne demande qu’à être utilisée. Ce potentiel est en chacun de nous depuis notre naissance. Il n’y a pas d’individus plus chanceux que d’autres ou mieux dotés de ce point de vue. Tout dépend de la conscience de ce potentiel et de ce que l’on désire en faire….

 Source : Le Blog de Esprit-Positif.com

-Le soin du corps

L’homme de Vitruve de Léonard de Vinci

« Un esprit sain dans un corps sain »

Soigner son corps c’est d’abord bien le nourrir, par une alimentation équilibrée et naturelle. C’est aussi l’entretenir par des exercices tout comme savoir le détendre et le relaxer.

L’alimentation :

Manger en qualité :

C’est consommer des produits qui ont du goût tout d’abord, mais aussi qui sont issus de filières favorables à notre santé (filière Bio, filière de l’agriculture raisonnée,…), qui sont naturels c’est-à-dire peu ou pas transformés par l’industrie agroalimentaire, qui sont sans additifs de synthèse, qui sont riches en vitamines, en minéraux, en fibres…

Manger des quantités raisonnables (quantité pour adulte) par repas, quelques repères :

Le mieux est d’éviter les produits dit « morts » (Viande/poisson) afin de ne s’alimenter que de « vivant » pour ne pas emmagasiner des produits stressés par l’abattage. Cela permet le développement d’une conscience plus pure. 

Mais sinon, 

Pour la viande : portion de 150 g (pas plus de 2 à 3 x par semaine de la viande rouge) ou

Pour le poisson : portion de 200 g (au moins 3x par semaine des poissons gras)

Féculents complets ou semi-complets ou légumes secs (environ 3 cuillères à soupe de féculents par repas)

400 g de végétaux par jour ou 5 portions de fruits et de légumes

Pour la matière grasse : 2 cuillères à soupe d’huile de colza par jour

Une nutrition saine n’est pas en contradiction avec une alimentation plaisir. C’est au contraire la recherche d’un meilleur goût, la recherche de ce qui nous fait plaisir, la recherche de la qualité. C’est réapprendre à manger des choses avec un goût vrai, retrouver le goût oublié des fruits et des légumes, des gâteaux faits maison peu sucrés par exemple.

Il ya une tonne d’informations disponibles aujourd’hui sur ce conflit qu’est une alimentation saine et nutritive, et il est parfois difficile de séparer les faits de la fiction. Fondamentalement, il peut être facile de suivre un régime alimentaire sain en faisant quelques ajustements mineurs à votre alimentation actuelle.

La plupart des gens ne se rendent pas compte de l’influence incroyable qu’une alimentation saine peut avoir sur notre qualité de vie. La différence entre une bonne alimentation et une mauvaise alimentation peut faire la différence entre avoir une bonne santé et avoir une mauvaise santé. La plupart des gens ne choisiraient pas sciemment une mauvaise santé, mais c’est exactement ce qu’ils font par la suite d’une mauvaise alimentation.

Parallèlement à l’activité physique régulière, une alimentation saine est le facteur le plus important qui détermine votre poids. Si une personne est en surpoids, les chances de développement, y compris l’hypertension artérielle, taux élevé de cholestérol, les maladies cardiaques, le diabète et autres problèmes de santé augmente fortement.

La première étape pour une alimentation saine est d’inclure des aliments de tous les groupes d’aliments, comme les légumes, les fruits, les grains entiers et des protéines maigres dans votre alimentation.

Il est bien établi qu’une alimentation contenant des fruits et légumes peut réduire le risque de maladie cardiaque.

Il n’est pas difficile de suivre un régime alimentaire sain. Quelques changements simples à votre alimentation peut vous fournir une meilleure santé, une vie plus longue et plus d’énergie.

Entretenir son corps

Les bénéfices de l’activité physique

Si vous avez envie de commencer ou de reprendre une activité physique et sportive, prenez le temps de faire un bilan chez votre médecin traitant. Il vous conseillera une activité adaptée.Une activité physique doit être accompagnée d’une alimentation saine, équilibrée et variée afin que ses effets soient satisfaisants et qu’elle soit efficace. Les bonnes habitudes se prennent dès le plus jeune âge. Un jeune enfant ou un adolescent actif aura plus de chances de devenir un adulte actif. L’activité physique diminue le risque de survenue de certaines maladies comme les maladies cardiovasculaires, les cancers, le diabète de type 2, l’hypertension artérielle, etc. Elle permet également l’augmentation du HDL cholestérol ou « bon cholestérol ». Pratiquer une activité physique améliore la condition physique et permet de rester en forme. Elle aide aussi à être plus détendu et améliore la qualité du sommeil.

Le yoga, le Qi gong, le Taï chi, marche et autre….

La gym douce : Travail respiratoire, entretien des articulations, étirements, souplesse, relaxation, posturologie.
Vous vous concentrerez sur votre corps, ses réactions et son fonctionnement. Ainsi, en améliorant vos capacités physiques et la connaissance de votre schéma corporel, vous ressentirez un bien-être physique bénéfique au quotidien !!
La gym’marche :   Travail respiratoire et renforcement musculaire.
Vous pratiquerez une marche, adaptée au rythme de chacun, encadré par un animateur sportif. Si le temps ne le permet pas, vous pratiquerez une activité en salle, visant à améliorer les capacités globales du corps.
La marche active :  Travail de la fonction respiratoire.
Vous pratiquerez sous contrôle et sur terrain plat une marche rapide, proche de l’essoufflement. Après un questionnaire de santé et l’accord du médecin, vous suivrer un programme particulier, construit pour vous, suivant des étapes de difficultées progressives – adaptées et mesurées régulièrement par tests, visant à améliorer et à développer votre capacité cardio-respiratoire.
Le but étant de minimiser la sensation d’essoufflement que l’on peut avoir lors d’une promenade, en montant un escalier, en gravissant une côte … 
Le Taï Chi Chuan : Art martial chinois visant le mieux-être global.
Vous pratiquerez des mouvements lents et fluides, augmentant votre force et votre tonus musculaire – améliorant votre souplesse, votre équilibre et votre coordination et enfin diminuant votre stress et vos tensions musculaires. Une vraie source de bien-être tout en douceur …
La Zumba : De la gym en dansant et en s’amusant.
Pour ceux qui souhaitent se défouler physiquement et mentalement, une gym composée de pas de danse simples et de mouvement de fitness sur de la musique latine festive, permettant de renforcer son corps et sa capacité cardio-respiratoire sans trop d’effort et de façon ludique !
Le body balance :
C’est une gym imaginée par le groupe Les Mills dans les années 80. Cette activité s’inspire du stretching, de la relaxation, du yoga, du tai-chi, du qi gong et du Pilates pour n’en prendre que le meilleur.
Le yoga :
Il mêle postures variées, exercices de respiration et relaxation. Un cocktail bénéfique pour l’organisme qui retrouve son tonus et se débarrasse enfin du stress

Le qi gong :

C’est une discipline ancestrale chinoise qui est avant tout une philosophie de la vie, comme le yoga, et dont le but est d’améliorer la santé de celui ou celle qui le pratique par la bonne canalisation des énergies nous parcourant (Méridiens/Chakras).

Détente et relaxation du corps

Le massage :

Le massage ou la massothérapie est l’application d’un ensemble de techniques manuelles qui visent le mieux-être des personnes grâce à l’exécution de mouvements des mains sur les différents tissus vivants. Cette thérapie agit entre autres sur la peau, les muscles, les tendons et les ligaments (ces tissus sont appelés communément tissus mous) et vise une bonne santé (tant le bien-être physique que psychique).

Il est nécessaire de pouvoir confier son corps à une personne maîtrisant une pratique de massage afin que celle ci nous relaxe et remette en place ce qui à pu bouger. Il ne faut pas perdre de vue que par nous même et notre hygiène de vie nous favorisons grandement la souplesse de notre corps et la non tension de celui-ci. Le massage ne se fera donc qu’occasionnellement dans un but de relaxation ou après une période d’effort ou de fatigue. 

La réflexologie :

La réflexologie est une discipline médicale non conventionnelle, de type massage. Elle repose sur le postulat selon lequel chaque organeglande, partie du corps ou fonction physiologique correspondrait à une zone ou un point sur les mains, les pieds ou les oreilles. Un toucher spécifique appliqué sur ces zones permettrait ainsi de localiser les tensions et de rétablir l’équilibre du corps. Pour ses praticiens, la réflexologie libérerait les facultés d’auto-guérison de l’organisme et permettrait de soulager divers troubles sans traitement médicamenteux. Cette technique manuelle se place dans une approche « énergétique » et globale du corps et s’apparente en cela au shiatsu, à l’acupuncture ou à l’ostéopathie.

Le reiki: 

Le Reiki (靈氣, 霊氣 ou 霊気, [ˌreɪki]) est une méthode de soins d’origine japonaise, basée sur des soins énergétiques par apposition des mains.

D’après ses praticiens, l’un des buts du Reiki est de soulager les souffrances, d’apporter un calme mental, une paix intérieure et un bien-être en général. Il se fonderait sur le concept du Taoïsme chinois Ch’i ainsi que celui du Zen et des Arts  japonais ki, « énergie universelle de vie » (l’équivalent du Ch’i chinois et du Ki japonais et le prâna dans la philosophie indienneCertains praticiens associent le Reiki à l’activation des 7 chakras qui est une conception issue du tantrayanaet du yoga traditionnel indien. Ce système de l’Inde est connu au Japon à travers le système bouddhiste, lequel s’appuie sur 5 centres subtils correspondant aux 5 éléments, et le Shintô/Taoïsme, comme l’acupuncture, sur un système de 3 centres subtils.
Je vous ai proposé à titre indicatif quelques exemples d’activités physique et soins du corps, il va de soit que l’on peut facilement en allonger la liste. L’important étant de savoir lier une activité qui convient avec notre recherche de connaissance de soi et de bien être. 

-La connaissance.

Voici ici un point primordial et la raison même de la création de ce blog. Nous sommes tous dotés d’une intelligence propre à nous instruire, à découvrir, analyser, comprendre et juger ce qui nous convient ou pas.La recherche permanente du bien être, du bien vivre dans sa partie personnelle a été faite par de nombreux philosophes, sages et autres personnages. Que l’on soit croyant ou non, cela n’empêche personne de trouver une voie de développement de soi afin d’éviter de tomber dans les pièges de son propre mental, de rééquilibrer celui-ci, si par le passé nous avons été victime de traumatisme.Il est dit que la psychologie est la entre autres pour soigner le mental, la recherche de son soi propre, cette voie vers l’éveil à soi nous apprend à ne pas être victime de son mental… La nuance est importante est les deux plans de travail ne s’opposent pas, bien au contraire.Pour ce qui est de la religion quelle qu’elle soit, son essence est l’amour, le respect, la compassion. On conseille par ce biais d’aller dans un droit chemin pour plaire à Dieu au jour du jugement dernier ou pour trouver Dieu (ou le sacré)   en soi comme dans le bouddhisme. Vous trouverez une multitude de points communs comme de différences dans une multitude de religions. Croire est une chose, être en harmonie avec ce que l’on croit en est une autre… Je pense que sans avoir besoin d’être croyant on peut se poser des questions et savoir au moins être à l’écoute juste de ce qui existe à coup sur, soi-même. Dans une écoute juste, sans se faire avoir par les préjugés, les avis des autres et la mauvaise foi, on s’apercevra qu’il y a quelque chose d’incroyablement magique à la vie et qui se suffit à lui-même pour être dans une compréhension et un respect de l’essence de la vie.

Une chose va de soi et pourtant nous n’y prenons pas vraiment attention… Nous sommes tous issus de ce que je nomme l’étincelle primaire de la vie qui par son développement, bravant toutes les lois statistiques, à pouvoir faire ce qui est aujourd’hui, à réussit à nous faire, nous, au milieu d’une multitude de choses animées par cette même étincelle (arbre, être humain, animaux et bien plus encore).  En cela et si nous méditons là-dessus nous comprendrons entre autres que nous sommes à égalité devant la chance d’être là, vivant parmi le vivant. Un respect, une compassion et un amour s’imposera de lui-même lorsque ce fait nous sera pleinement conscient.

Pourquoi se croire meilleur?

Pourquoi rejeter untel ?

Pourquoi subir ?

Trouvons la liberté d’être, celle de comprendre que nous dépendons tous de facteurs faisant ce que nous sommes, de facteurs étant pour la grande majorité complètement indépendants de nos propres volontés. Ainsi on comprendra que chacun à son parcours remontant à bien loin et par conséquent ce n’est pas la personne uniquement par elle-même qui peut être à blâmer ou à louer mais un ensemble de causes indépendantes.

L’une de ses causes négatives est l’ignorance, on a peur de ce que l’on ne connaît pas et l’on cherche à se faire une idée, justifiant cette peur par l’autre ( idée qui sera forcément fausse mais qui sera la fondation d’une réflexion malheureuse…) plutôt que d’admettre que le peur vient de la non connaissance et que pour vaincre celle ci, il est nécessaire d’aller vers la découverte.

Le but de ce blog est donc de brasser largement ce qui peut servir de support à une meilleure connaissance de ce qui nous entoure pour ainsi mieux se connaître soi même, voir pour la quasi totalité des gens de se découvrir puisque l’introspection lorsqu’elle est pleinement décidée et exercée va forcément nous faire voir des choses insoupçonnées.

Le dernier point que je tiens à souligner est qu’il faut vouloir et savoir se renseigner, apprendre et comprendre ; mais qu’une fois que nous avons décidé de faire cette recherche intérieure, une fois que l’on sait qu’elle pratique va nous y aider, il est important de laisser tomber la quête de connaissance en ces pratiques et ne se consacrer qu’a sa propre recherche. Sinon on sera au mieux une formidable bibliothèque mais l’on n’aura rien compris vraiment de soi. La recherche intime se fait simplement…. sans chercher à savoir ce que l’on cherche… sans chercher à se prouver que l’on sait….en pratiquant simplement…

Pour ma part je n’ai rien d’un sage, je n’ai juste réussi qu’a passer d’un état bien médiocre à celui d’une joie de vivre vrai, d’un état négatif de ma vision du monde à celui bien positif et porteur pour mon entourage et ma personne. Cela est due à ma profonde envie de changer, à mes lectures, ma recherche possible d’un changement et d’une pratique simple et régulière, honnête avec moi même. Il est normal de vouloir partager cela et d’en faire témoignage car je ne peux que souhaiter cela à tous ceux qui souffrent non pas du monde comme on à vite tendance à le croire mais bien d’eux même. 
Amicalement.
Olivier.
La voie de la sagesse 2011